mercredi 10 mars 2010

"D'où vient l'eau de la Terre ? " 2ème article d'Adrien et de Safwan


D'où vient l'eau de la Terre ? Voilà une question que de nombreux savants tentent de trouver des réponses.
J’ai choisi ce document car l’eau constitue le principal facteur de l’apparition de la vie sur une planète. En effet jusqu’à ce jour les scientifiques ont répertorié de nombreuses exoplanétes, qui abritent des températures proches de celles terrestres. Mais tous les scientifiques s’accordent à dire que toutes ces planètes ne peuvent abriter la vie car il leur manque le composant majeur : l’eau. Ainsi la question de la provenance de l’eau est une question que tout le monde se pose à ce jour, avec le réchauffement climatique les scientifiques tentent de savoir comment l’eau est apparue sur Terre pour essayer de retrouver le même phénomène sur une autre planète.
Ce n’est pas par hasard que les scientifiques ont baptisé notre planète : la planète bleue. Tout d’abord faisons le bilan complet de l'eau présente sur Terre, l'eau contenue dans les océans ainsi que dans l'atmosphère ne représente que 50% de la quantité d'eau terrestre : Rappelons que les océans contiennent 1.38 milliards de km3 d'eau tandis que l'atmosphère en contient à peine 115 fois moins avec 12000 milliards de tonnes d'eau. L'eau qui ruisselle en surface, dans les cavernes et surtout emprisonnée dans les roches jusqu'à plusieurs kilomètres de profondeur représente à son tour 50% de l'eau terrestre.
D'où vient toute cette eau ? La question semble anodine mais elle cache en réalité une véritable énigme et aucun scientifique ne peut réellement affirmer sa provenance, en effet plusieurs hypothèses ont été émises.

De nombreux scientifiques s’accordent à dire que, lors de la formation du système solaire, les planétésimaux (petits corps constitués par agglutination de poussières, au cours du processus de formation des planètes) qui ont formé la Terre renfermaient énormément de gaz dont de l'hydrogène et des éléments légèrement plus lourds.
A l'échelle planétaire ce réservoir de gaz était astronomique. Sous la chaleur du noyau le gaz emprisonné dans les roches s'est lentement échappé dans l'atmosphère primitive de la Terre puis se serait condensé sous forme de pluie sous l'effet du froid persistant en altitude. Cette période de pluies incessantes aurait duré des centaines de milliers voire quelques millions d'années, le temps nécessaire pour remplir les cavités océaniques sous plusieurs kilomètres d'eau (jusqu'à 10 km localement).
Alors que d’autre considère qu'à l'origine la Terre ne contenait pas beaucoup d'eau. Elle aurait été percutée par des comètes ou des planétoïdes contenant énormément de glace et de gaz légers. Lors de l'impact, ces glaces et ces gaz se seraient évaporés dans l'air puis décondensés pour former les océans. Le taux d'impact a donc dû être très élevé durant les premières centaines de millions d'années d'existence de la Terre pour remplir les bassins océaniques sous plusieurs kilomètres d'eau.


Il est difficile d'évaluer la pertinence de l'un ou l'autre modèle. Toutefois, a priori la théorie cométaire est plus séduisante, car elle expliquerait pourquoi la Terre est différente de Vénus par exemple ainsi que des autres planètes telluriques. Car l'argument considérant que sa distance au Soleil lui permet d'avoir de l'eau à l'état liquide n'est pas suffisant. Mars également bénéfice en été de température positive et Vénus comme Mercure ont très bien pu conserver de l'eau dans leur sous-sol. Or aujourd'hui aucune de ces planètes ne contient d'eau libre.
Par ailleurs, les recherches géologiques et astronomiques nous apportent les preuves que le bombardement cométaire sous forme d'averses a commencées longtemps après que la Terre se soit formée et refroidie. On en trouve les preuves dans la surface fortement cratérisée de la Lune, des autres planètes et des astéroïdes. Nous savons qu'après les premiers 100 millions d'années d'existence du système solaire, la Terre ainsi que les autres planètes connurent une ou deux périodes d'intense bombardement météoritique. C'est durant cette période cataclysmique que les comètes ont pu apporter leur eau glacée sur Terre qui se transforma finalement en océans, mais l'essentiel de l'eau a probablement été apportée par le dégazage des roches terrestres.
Après ces nombreuses théories sur l’origine de l’eau, on pourrait se demander si le fait que la Terre renferme de l’eau sous toutes ses formes ne soit pas dû au hasard, et si l’évolution de la vie ne soit qu’une succession d’événements hasardeux. Ainsi peut être la Terre est la seule planète de l’univers à avoir bénéficié de l’eau à sa surface : la Terre serait-elle unique ? Sommes-nous la seule forme de vie ? A ce jour nul ne connaît la réponse.

"Le séisme au Chili a modifié l’axe terrestre et raccourci les jours" par Adrien et Safwan



J’ai choisi ce document par intérêt scientifique sur les événements géologiques actuels. En effet ces séismes d’une grande magnitude ont des conséquences, qui semblent irréelles, sur l’axe de rotation de la Terre ce qui entraîne le raccourcissement des jours qui suivent la catastrophe.

Nous allons tout d’abord expliquer pourquoi le Chili a été victime des plus grands séismes du XXe siècle. En effet Le Chili est situé le long d'une fosse océanique, la fosse du Pérou-Chili, qui souligne la subduction de la plaque de Nazca sous la plaque sud-américaine à un rythme de huit centimètres par an. Cette configuration géologique entraîne une forte activité sismique avec un risque important de tsunami. Le séisme de magnitude 8.8 qui a frappé le Chili le 27 février 2010, qui est du à ce phénomène géologique, pourrait avoir eu des effets sur l’axe de rotation de la terre. Ceci entraînant un infime raccourcissement de la durée du jour : étude révélée par les scientifiques de la NASA, la célèbre agence spatiale américaine. D’après des calculs préliminaires issus d’une simulation informatique, le séisme du 27 février pourrait avoir entraîné un décalage de 8 centimètre de l’axe de rotation terrestre. Cela provoquerait le raccourcissement des jours de 1.26 microsecondes, soit 1.26millionième de seconde. Il se révèle que ce phénomène n’est pas inédit. En effet comme dans tous les séismes majeurs, la Terre peut modifier sa vitesse de rotation. Cette accélération bien qu’elle soit infime peut pourtant être mesurée par satellite. A titre d’exemple, le plus grand séisme du XXe siècle, d’une magnitude de 9.6 en 1960 au Chili, a fait diminuer la longueur du jour de 8 microsecondes, selon une estimation des chercheurs.
Cependant l’axe de la Terre varie naturellement tout le temps, décrivant en gros, à l’échelle d’une année, un cercle d’une dizaine de mètres. Le petit déplacement subi par l’axe de la Terre à cause du séisme chilien, estimé à 8 cm, est donc moins élevé que le mouvement naturel de la Terre. Pour provoquer un cataclysme et modifier ainsi réellement l’orbite terrestre, soulignent les sismologues, il faudrait une cause extérieure comme une collision avec un astéroïde.

Ainsi on pourrait se demander comment se fait-il que l’axe de rotation de la Terre soit incliné de 23.45°. Est-ce du à des séismes qui ont déplacé l’axe de rotation ? Aux collisions des astéroïdes avec la surface terrestre ? Ou est ce simplement ce phénomène s’est produit lors de la formation de la Terre.

"Détecter instantanément les tsunamis" par Lise et Lucie


Article du Courrier international n°1007 du 18 au 24 février 2010Nous avons trouvé cet article intéressant puisqu’il est important de prévenir les tsunamis. En effet ceux-ci sont ravageurs et causent de nombreux morts ainsi que des problèmes sanitaires. Détecter instantanément les tsunamis permettrait donc de réduire les problèmes.


Le terrible séisme du 26 décembre 2004, de magnitude 9,3 (sur l’échelle de richter) a ravagé l’île de Sumatra, la Thaïlande et le Sri Lanka .Les chercheurs ont alors remarqué que les câbles en fibres optiques de cette zone ont été traversé par un courant électrique généré par le tsunami. Ceci prouve que l’on peut-être prévenu lorsqu’un tsunami se forme.
Par définition l’eau salée est un très bon conducteur d’électricité. Selon les océans, la tension électrique varie, il faut donc établir une moyenne dans chaque zone. Ces fluctuations ne dépassent pas les 2 millivolts alors qu’en 2004, la tension a atteint 500 mV.
Cette variation peut être détectée par le câble sous marin. Ce câble transmet l’information au relais à une vitesse proche de celle de la lumière, presque instantanément.

Des câbles de fibre optique sont donc installés dans les zones à risque (Méditerranée orientale, océan indien, mer de chine) pour pouvoir avertir les populations.

dimanche 7 mars 2010

"Carburant vert?" par Hugo et Pierre.


Nous avons repéré un article concernant le carburant vert, écologique, dans le magazine « Science et vie », Le 3 Mars 2010. Nous l'avons choisi pour son actualité : des chercheurs ont trouvé enfin le produit miracle qui ne rejetterait pas de CO2, et aussi pour le fait que c'est un nouvel article très récent.

Les chercheurs, dans le magazine, expliquent comment ils sont parvenus à transformer la cellulose en essence et même en kérozène grâce à un procédé qui rejetterait peu de carbone.

Aux Etats-Unis, des chercheurs auraient trouvé la bonne solution pour briser les molécules de cellulose, ces chercheurs dopent ensuite l'apparition de cellules secondaires qui gênaient les molécules de cellulose de se briser normalement et les combinent pour former une molécule, la gamma-valérolactone.
Cette dernière est changée en butène, c'est une substance carbonée capable d'être transformé en carburants ou en substance liquide.
Ce serait plus que bénéfique pour nous, cela permettrait de débarrasser donc notre planète d’une partie des gaz qui réchauffent son climat !
Mais des problèmes peuvent être encore posés, comme d'abord, la question de la rentabilité économique …

Edition du 26 février 2010.